Mel

Waa et ba dis dont, j'avais passé par dessus se fofo là

Et dire que j'avais oubliée que j'y étais inscrite...

Bon aller je reviens en grand pour mon retour!

Je vous lance une histoire que j'ai commencé il n'y a pas longtemps, et qui j'espère pourra être publier et c'est vous qui aller le juger! Bonn lecture

Prologue:



«Avant même que notre Univers se réside, un autre monde avait vu le jour quelques milliers d’années auparavant. Une dimension parallèle à celle que l’on connaît aujourd’hui.

Un Univers où se dissipait bien des choses, qui sont restées longtemps cachées dans l’ombre des apparences. Bien que la population qui peuplait cette terre eut traversé de dur temps, ils continuèrent tout de même leurs recherches. Celle d’un monde qu’ils pourraient créer, là, où aucune magie ne pourrait subsister. Un endroit où l’homme ferait tout de ses propres mains.

Après plusieurs années de travail acharné, ils finirent tant de bien que de mal, par concevoir une énergie assez puissante pour engendrer la création d’une nouvelle dimension. Ils libérèrent cette énergie dans l’espace, celle-ci se compressa jusqu’à ce que la pression devienne trop forte, puis explosa, créant ainsi notre Univers tel qu’on le connaît.

Alors, ils façonnèrent de gigantesques portes de métal, assez grande pour bloquer cette entrée, et y forgèrent aussi une clef en or, permettant d’ouvrir ces portes. Ils sellèrent à tout jamais ce portail, et cachèrent la clef dans un temple isolé du reste du monde. Car si jamais elles venaient à se réouvrir, cela produirait un cahot entre les deux dimensions, quelque chose de si puissant, que personne ne pourrait l’arrêter.

Les années passèrent, et le monde des humains vit dans l’ignorance de leur création. Ayant oubliés qu’ils furent créés par des mages, ils prenaient pour acquis, qu’une grande puissance leurs avait donnée naissance. Mais ils n’avaient pas complètement tord, ils omettaient cependant le fait que la magie existait, et croyaient insensés, ceux qui la pratiquaient.

Bien qu’ils en ignoraient l’existence de cet autre monde, ils ne savaient pas non plus toutefois, ce qui s’y préparait derrière le portail. Un désastre si grand, que même le monde de la magie, ne pouvait le retenir. Car de l’autre côté, au grand malheur de tous, la clef du temple venait de disparaître dans l’ombre. Quelques jours auparavant, une harde d’archigan, de puissantes créatures de la nuit saccagèrent tout le temple, avant de dérober la clef du temps.

Celle qui permettait d’ouvrir le passage entre les deux dimensions, était maintenant entre les mains d’un être que bien des mages avaient sous-estimé. Ce puissant tyran, possédait une des plus redoutables armées de l’ombre.







Voilà, c'est tout pour aujourd'hui moi j'y vais, laisser vos com's...

pas mal comme début vivement la suite!

Merci la suite sera pour bientôt, je n'ai juste pas le temps de la poster aujourd'hui, je viens juste faire un petit tour pour vous dire boujour et je reparts, alors à demain tout le monde.

Bisous

Suite à ce que tu m'as demandé, je fais un petit compte-rendu (woo, ça fait hyper professionnel, et chiant^^... désolée !)

D'abord, c'est juste une question de forme (et donc ce n'est pas mon domaine, mais je t'en fais quand même la remarque) : pourquoi tu n’écris pas tout dans un même post ? Ça serait plus lisible…

Maintenant, la correction… et des remarques générales :
- l’orthographe est presque parfaite et il n’y a pas de fautes de non-relecture (et je te félicite pour ça ! )
- par contre, tu utilises assez mal la ponctuation, surtout les virgules ! et la syntaxe laisse à désirer quelquefois (mais ça a aussi rapport avec la ponctuation malheureusement) Ce qui fait que parfois on lit des choses sans les comprendre !

Alors, la ponctuation : dans tout ton texte, je crois que 50 % des virgules sont inutiles voire empêchent la compréhension ! Tu vois le tableau ?! Le problème c’est que je ne sais pas du tout comment te montrer ça… enfin, déjà tu pourrais enlever toutes celles qui sont devant les relatifs (qui, que, où, etc.). Et j'en corrigerai certaines avec d'autes fautes (je les mettrai en rouge quand elles sont à enlever)...

Maintenant, dans l’ordre :
Avant même que notre Univers se réside -> je n’ai déjà pas compris ce verbe… peut-être que c’est un canadianisme ?!
Un Univers où se dissipait bien des choses, qui sont restées -> ce n'est pas le verbe "dissimulaient" ??

Citation :

Bien que la population qui peuplait cette terre eut traversé de dur temps, ils continuèrent tout de même leurs recherches.

un bon exemple de plusieurs fautes auxquelles il faut faire attention :
- bien que se contruit avec un subjonctif (ici "Bien qu'elle eût") Et le meilleur moyen d'éviter de mettre du subjonctif (parce qu'on ne sait jamais trop comment il se forme, et parce que ça alourdit parfois) c'est de remplacetr "bien que" par "même si"
- attention à utiliser les pronoms personnels adéquats : ici tu veux reprendre "la population" donc ce n'est pas "ils" qu'il faut écrire ensuite mais "elle". Fais surtout attention à ça pour les noms qui sont des "singuliers collectifs" (la population, la foule, etc.)
- durs temps

Celle d’un monde qu’ils pourraient créer, là, où aucune magie -> idem que juste au dessus : "celles" car ça reprend "les recherches".
ils finirent tant de bien que de mal, par concevoir -> l'expression correcte est "tant bien que mal"

Citation :

Ils libérèrent cette énergie dans l’espace, celle-ci se compressa jusqu’à ce que la pression devienne trop forte

- j'ai mis la virgule en gras car ici il faut bien un signe de ponctuation, mais un plus fort qu'une virgule : un point-virgule par exemple.
- devienne -> devînt (subjonctif passé puisque tu es dans un contexte passé)

Les premiers qui déposèrent le pied sur cette nouvelle terre, furent les plus surpris -> posèrent
ils eurent peur d’avoir échoué, là, où tout le monde l’avait fait. -> je n'ai pas compris la fin de la phrase

Citation :

Mais ils s’aperçurent bien vite, que leurs présences devenaient de plus en plus gênantes, car, plus ce monde évoluait, et plus il prenait conscience de ce qui l’entourait.

leurs présence -> leur présence (le pluriel est inutile, du coup il faut aussi changer le verbe et l'adjectif)
la phrase correcte serait : "car plus ce monde évoluait, plus il prenait..."

Citation :

Bientôt apeuré par ce qu’il voyait de leurs fondateurs, le peuple qu’ils avaient créé se révolta bien vite contre eux. Se voyant menacés par leur propre ouvrage, ils bâtèrent donc en retraite à contre-cœur.

- leurs fondateurs -> ses fondateurs
- "bien vite" inutile puisque tu as déjà écrit bientôt : soit tu dis " bientôt, apeuré par..." soit "Apeuré par... il se révolta bien vite..."
- batèrent -> battirent lol
- contrecoeur

ils finirent par réaliser, le fait que la magie ne leur soit pas familière, elle leur faisait peur -> ils finirent par réaliser que, la magie ne lui étant pas familière, elle lui faisait peur
ils devaient se rendre à l’évidence qu’ils avaient -> ils devaient se rendre à l'évidence : ils avaient...
Bien que l’attachement qu’ils éprouvaient face à cet Univers qu’ils venaient à peine de créer, qu’ils fallaient déjà qu’ils s’en séparent. -> là une petite relecture s'imposait : tu aurais vu que ta phrase n'a pas de sens !! Malgré l'attachement qu'ils éprouvaient face à cet Univers qu'ils venaient à peine de créer, il fallait déjà qu'ils s'en séparent.
ils inventèrent une fenêtre cosmique, leur permettant de voir de l’autre côté. Leur donnant ainsi, la possibilité de continuer -> le point est à remplacer par une virgule

Citation :

Ils virent leur chef-œuvre évoluer avec les années, devenant de plus en plus sophistiqué à chaque découverte trouvée

- chef-d'oeuvre
- on fait une découverte, on n'en trouve pas...

le goût de voyager plus loin leur prenait envi. -> déjà "envie" prend un e ... et en plus, on dit plutôt "ils avaient envie" ou "le désir de... les prit" etc.

Citation :

les êtres à qui ils ont donnée vie, découvrent un jour

-> donné

Citation :

Il ne fallait qu’en aucun cas, qu’ils mettent la main sur cet endroit

- Il ne fallait en aucun cas qu'ils mettent la main sur cet endroit
- Il ne fallait qu'en aucun cas ils mettent la main sur cet endroit

Citation :

Alors, ils façonnèrent de gigantesques portes de métal, assez grande pour bloquer cette entrée, et y forgèrent aussi une clef en or, permettant d’ouvrir ces portes. Ils sellèrent à tout jamais ce portail

- grandes / ces entrées ? il y en a plusieurs, non ?
- y -> ils forgèrent
- ils ne sellèrent pas un cheval, ils scellèrent une porte !

cela produirait un cahot entre -> un cahot c'est une petite secousse, un petit choc loin du chaos qui est lui bien plus dangereux !! (je te taquine évidemment, ça m'arrive aussi d'écrire des étourderies comme ça !)
le monde des humains vit dans l’ignorance de leur création. -> vécut dans l'ignorance de sa création
ils prenaient pour acquis, qu’une grande puissance leurs avait donnée naissance-> donné

Citation :

Mais ils n’avaient pas complètement tord, ils omettaient cependant le fait que la magie existait, et croyaient insensés, ceux qui la pratiquaient.

- ATTENTION à tord et tort !!! Désolée d'être énervée mais je lis ça 9 fois sur dix dans des fanfics et maintenant je suis allergique ! Petite aide pour te souvenir dans quel cas mettre un -d : tu penses à tordre, tordu... Ici ça ne marche pas !
- omettaient -> oubliaient (omettre c'est plus que ça)

Citation :

Bien qu’ils en ignoraient l’existence de cet autre monde, ils ne savaient pas non plus toutefois, ce qui s’y préparait derrière le portail.

- pas la peine de mettre "en" puisque tu dis après de quoi ils ignoraient l'existence
- bien que + subjonctif, donc "ignorassent" sinon, tu mets même si... c'est plus joli que ce -assent moche !!

une harde d’archigan -> les hardes ce sont de vieux habits, par contre des hordes d'archigan ça existe peut-être

VOILA !!! N'oublie pas de vérifier les virgules que je n'ai pas notées. Si tu as d'autres questions, n'hésite pas !
J'espère que ma correction te conviendra ! En regardant, ça a l'air hyper rébarbatif... désolée !

oO" Du haut de mes 15 ans, je me rends compte que j'en ai encore beaucoup à apprendre, évidemment pour la ponctuation je n'y ai presque pas touchée, alors euh ça laisse un peu à désiré.

J'utilise Word, mais comme tu peux voir, il ne corrige pas la moitié de mes fautes, et il en trouve là, où il n'y en a pas. Et les fautes de non-relecture, hé bien il faut dire que je me relis pas loin d'une dizaine de fois alors elles sont plutôt rares "

Mais j'aimerais revenir sur certaines choses, car évidemment entre le Québec et la France, il y a quelques différences.

Tout d'abord, "se réside" veut dire par exempe "être créé" quelque chose comme ça.




(Bien que la population qui peuplait cette terre eut traversé de dur temps, ils continuèrent tout de même leurs recherches.

un bon exemple de plusieurs fautes auxquelles il faut faire attention :
- bien que se contruit avec un subjonctif (ici "Bien qu'elle eût") Et le meilleur moyen d'éviter de mettre du subjonctif (parce qu'on ne sait jamais trop comment il se forme, et parce que ça alourdit parfois) c'est de remplacetr "bien que" par "même si" )

Alors, ici je ne comprends pas trop ce que tu veux dire, comment le lecteur va-t-il savoir que je parle de la population, si je remplace le mot par "elle"?

"- attention à utiliser les pronoms personnels adéquats : ici tu veux reprendre "la population" donc ce n'est pas "ils" qu'il faut écrire ensuite mais "elle". Fais surtout attention à ça pour les noms qui sont des "singuliers collectifs" (la population, la foule, etc.)"

Ici, il faudrait que je reformule la phrase, parce que ce n'est pas la population qui fait des recherches, mais bien les créateurs.

(Les premiers qui déposèrent le pied sur cette nouvelle terre, furent les plus surpris -> posèrent
ils eurent peur d’avoir échoué, là, où tout le monde l’avait fait. -> je n'ai pas compris la fin de la phrase )

Ça se peut que tu n'es pas compris, il faut que tu vois mon récit comme si je remontais l'histoire, alors là, c'est comme si on était au temps des hommes des cavernes, et que les créateurs ne reconnaissent rien de ce qu'ils ont voulu créer, puisqu'ils n'ont pas connu cette époque et que leur monde est très évoluer à côter de celui qu'ils ont voulu créer. Alors ils avaient peur de ne pas avoir réussit leur expérience, je ne sais pas si tu comprends...




"Mais ils s’aperçurent bien vite, que leurs présences devenaient de plus en plus gênantes, car, plus ce monde évoluait, et plus il prenait conscience de ce qui l’entourait.

leurs présence -> leur présence (le pluriel est inutile, du coup il faut aussi changer le verbe et l'adjectif)"

Mais, ils sont plusieurs, alors se serait logique qu'il y est plus d'une présence non?

- batèrent -> battirent lol

Hé hé, je confonds les terminaisons de verbe parfois "

"- grandes / ces entrées ? il y en a plusieurs, non ?"

Oui, en effet, j'oubli souvent mes "s"

"ils ne sellèrent pas un cheval, ils scellèrent une porte !

cela produirait un cahot entre -> un cahot c'est une petite secousse, un petit choc loin du chaos qui est lui bien plus dangereux !! (je te taquine évidemment, ça m'arrive aussi d'écrire des étourderies comme ça !)"

C'est un peu ma faiblesse, les mots qui se ressemblent, j'arrive jamais à retenir lequel veut dire quoi

"omettaient -> oubliaient (omettre c'est plus que ça)"

Justement, c'est plus que "oubliaient" on peut pratiquement dire qu'ils ne le savaient même pas...


"- bien que + subjonctif, donc "ignorassent" sinon, tu mets même si... c'est plus joli que ce -assent moche !!"

Je n'ai pas trop compris le "ce -assent moche!!"

"une harde d’archigan -> les hardes ce sont de vieux habits, par contre des hordes d'archigan ça existe peut-être "

En faite, "harde" à trois définitions, ça veut aussi dire "troupeau" mais j'ai vérifié dans le dictionnaire, et c'est marqué "troupeau de ruminants sauvages" bon se n'est pas tout à fait dans se sens là que je voulais l'utiliser mais bon... et "horde" c'est un terme utilisé pour définir un groupe de personne qui sacage tout, mais se ne sont pas vraiment des personnes alors je suis un peu bloquée sur ce point


J'espère que ma correction te conviendra ! En regardant, ça a l'air hyper rébarbatif... désolée

Rébarbatif? Tu parles de mon histoire ou de ce que tu m'as dit?

Merci de m'avoir corrigée, ça va m'aider pour la suite de mon histoire...

pheobe a écrit:

Tout d'abord, "se réside" veut dire par exempe "être créé" quelque chose comme ça.

OK, alors ça c'est un "québécisme"

pheobe a écrit:

Alors, ici je ne comprends pas trop ce que tu veux dire, comment le lecteur va-t-il savoir que je parle de la population, si je remplace le mot par "elle"?

nan, en fait j'avais la flemme de répéter "bien que la population eût", ma correction ne portait que sur le verbe, et non le nom !

pheobe a écrit:

Ici, il faudrait que je reformule la phrase, parce que ce n'est pas la population qui fait des recherches, mais bien les créateurs.

oui, en fait, en relisant, c'est moi qui ai mal compris ce que tu voulais dire.

pheobe a écrit:

(Les premiers qui déposèrent le pied sur cette nouvelle terre, furent les plus surpris -> posèrent
ils eurent peur d’avoir échoué, là, où tout le monde l’avait fait. -> je n'ai pas compris la fin de la phrase )

Ça se peut que tu n'es pas compris, il faut que tu vois mon récit comme si je remontais l'histoire, alors là, c'est comme si on était au temps des hommes des cavernes, et que les créateurs ne reconnaissent rien de ce qu'ils ont voulu créer, puisqu'ils n'ont pas connu cette époque et que leur monde est très évoluer à côter de celui qu'ils ont voulu créer. Alors ils avaient peur de ne pas avoir réussit leur expérience, je ne sais pas si tu comprends...

ça reste quand même très bizarre comme formulation... je ne sais pas, il faudrait que quelqu'un d'autre te donne son avis dessus (peut-être que c'est moi qui suis un peu bouchée )

pheobe a écrit:

leurs présence -> leur présence (le pluriel est inutile, du coup il faut aussi changer le verbe et l'adjectif)"

Mais, ils sont plusieurs, alors se serait logique qu'il y est plus d'une présence non?

Non, on ne dit pas (par exemple) "les présences des magiciens" mais "la présence des magiciens", tu vois ce que je veux dire ? Ce n'est peut-être pas une faute en soi, mais on dirait plus volontiers "leur présence"

pheobe a écrit:

"omettaient -> oubliaient (omettre c'est plus que ça)"

Justement, c'est plus que "oubliaient" on peut pratiquement dire qu'ils ne le savaient même pas...

exact... mais omettre c'est plutôt "négliger", tu vois ? Y'a une connotation différente, c'est comme s'ils le savaient mais le laissaient de côté exprès...

pheobe a écrit:

"- bien que + subjonctif, donc "ignorassent" sinon, tu mets même si... c'est plus joli que ce -assent moche !!"

Je n'ai pas trop compris le "ce -assent moche!!"

ben personnellement, je trouve que la terminaison de "ignorassent" est très moche et mes profs, étant du même avis, m'ont toujours conseillée de l'éviter le plus possible

pheobe a écrit:

En faite, "harde" à trois définitions, ça veut aussi dire "troupeau" mais j'ai vérifié dans le dictionnaire, et c'est marqué "troupeau de ruminants sauvages" bon se n'est pas tout à fait dans se sens là que je voulais l'utiliser mais bon... et "horde" c'est un terme utilisé pour définir un groupe de personne qui sacage tout, mais se ne sont pas vraiment des personnes alors je suis un peu bloquée sur ce point

d'accord pour harde qui veut dire troupeau, mais c'est vraiment spécifique je crois, alors là ça n'irait vraiment pas... Comment ça ce ne sont pas vraiment des personnes ? Si elles se comportent comme des "humains" même si ce sont des créatures, tu peux mettre hordes (le dico n'est pas fait pour les textes de fantasy/SF !!) :d

pheobe a écrit:

Rébarbatif? Tu parles de mon histoire ou de ce que tu m'as dit?

je parlais de ma correction, évidemment

pheobe a écrit:

Merci de m'avoir corrigée, ça va m'aider pour la suite de mon histoire...

mais de rien ! Tant mieux si ça te sert !

OK, alors ça c'est un "québécisme"
---
Peut-être, en faite, c'est le verbe "résider" mais employé autrement, je ne sais pas si tu comprends ce que je veux dire, j'ai regarder dans le dictionnaire mais il n'est pas marqué la façon dont je l'utilise, mais je sais que ça existe j'ai déjà lu ça quelque part, c'est comme un second sens.



nan, en fait j'avais la flemme de répéter "bien que la population eût", ma correction ne portait que sur le verbe, et non le nom !
---
Alors je ne fais que supprimer l'information de trop "qui peuplait cette terre" c'est ça?


oui, en fait, en relisant, c'est moi qui ai mal compris ce que tu voulais dire. ---
Oui, mais si tu n'as pas compris sur le coup, d'autre risque de ne pas comprendre non plus, je vais voir ce que je pourrais faire avec ça, il y a surment un autre moyen de formuler cette phrase.


ben personnellement, je trouve que la terminaison de "ignorassent" est très moche et mes profs, étant du même avis, m'ont toujours conseillée de l'éviter le plus possible
---
Donc j'écris "même s'ils ignoraient" ?


exact... mais omettre c'est plutôt "négliger", tu vois ? Y'a une connotation différente, c'est comme s'ils le savaient mais le laissaient de côté exprès...
---
Oui, mais en littérature, "omettre" veut aussi dire "oublier" sans nessairement le laisser de côté...


je parlais de ma correction, évidemment
---
Ok, je me disais "elle est si nule que ça mon histoire"


mais de rien ! Tant mieux si ça te sert !
---
Bien sûr que ça va me servir! C'est déjà plus intéressant que mon prof de français...

Désolée si je reviens beaucoup sur certaines choses, mais je déteste ne pas comprendre tant que je n'aurai pas compris je vais me creuser la tête pour comprendre. Du coup je me dis "une chance que je comprends vite avec les maths" je n'aurais pas fini de poser des questions :P

bah dis donc, vous en avez du courage ...

Je crois que la correction détaillée a été faite ...

Moi, je serai plus général :

J'aime beaucoup cette idée de création de la Terre, qui est de plus, bien exploitée.
Mais, je trouve que tu ne définis pas assez ce fameux royaume magique, le fonctionnement des portails, ...
Tu vois ? On pourrait s'attarder un peu dessus.

Dernière chose : le titre de prologue n'est pas approprié. Tu expliques des notions importantes pour le reste de l'histoire, notions qui méritent d'être répertoriées dans un vrai chapitre.

En tout cas, bravo, ce début de texte est très alléchant et je veux la suite !

pheobe a écrit:

Peut-être, en faite, c'est le verbe "résider" mais employé autrement, je ne sais pas si tu comprends ce que je veux dire, j'ai regarder dans le dictionnaire mais il n'est pas marqué la façon dont je l'utilise, mais je sais que ça existe j'ai déjà lu ça quelque part, c'est comme un second sens.

heu, moi je ne l'avais jamais entendu. Tu crois que c'est un québécisme, ou tu l'as vu employé dans un texte "français" ?

pheobe a écrit:

nan, en fait j'avais la flemme de répéter "bien que la population eût", ma correction ne portait que sur le verbe, et non le nom !
---
Alors je ne fais que supprimer l'information de trop "qui peuplait cette terre" c'est ça?

Non, non, ce n'est pas ça !!! C'est juste qu'au lieu de répéter "bien que la population que peuplait cette terre eût" j'ai préféré mettre juste le sujet et le verbe. Ce que je te disais c'était que je corrigeais uniquement le verbe, et donc je ne voulais pas tout répéter ce qu'il y avait avant ! Bref, ta phrase était très bien, sauf le verbe qui devait être au subjonctif !
J'aurais peut-être du écrire "bien que la population [...] eût", tu aurais mieux compris ce que je voulais dire ??

pheobe a écrit:

Oui, mais si tu n'as pas compris sur le coup, d'autre risque de ne pas comprendre non plus, je vais voir ce que je pourrais faire avec ça, il y a surment un autre moyen de formuler cette phrase.

comme tu le sens... Mais il faut aussi voir que je me concentrais sur les fautes, donc c'est peut-être une bête erreur d'étourderie de ma part !

pheobe a écrit:

Donc j'écris "même s'ils ignoraient" ?

Voui, c'est quand même plus joli !

pheobe a écrit:

Désolée si je reviens beaucoup sur certaines choses, mais je déteste ne pas comprendre tant que je n'aurai pas compris je vais me creuser la tête pour comprendre. Du coup je me dis "une chance que je comprends vite avec les maths" je n'aurais pas fini de poser des questions :P

Il n'y a aucun problème, je trouve ça bien que tu ailles jusqu'au fond des choses pour comprendre ! ça montre que tu finis bien ton travail. Et moi ça me fait plaisir de voir que la grammaire t'intéresse un peu sans prendre ce qu'on dit comme argent comptant et en essayant de comprendre pourquoi il vaut mieux ceci que cela !

J'allais te dire qu'il y avait beaucoup de fautes, mais je vois que tu as eu une longue discussion à ce sujet avec Marygold, et que quelques québécismes sont en faute de surcroît.
Pourquoi un des pires désastres connus ?
Pourquoi créer un monde sans magie ?
Pourquoi une armée de l'ombre ? Pourquoi pas une armée de beaux gosses ténébreux ?

Bref pour te dire, certains éléments de l'histoire semblent sortir de nulle part. De plus, tu ne le dis pas vraiment dans les premiers paragraphes que ce sont des mages.

loup==> Premièrement, je n'ai pas assez de chose à écrire pour en faire un chapitre, je mets vraiment le nécessaire, le reste est à comprendre plus tard dans le livre, je n'aime pas tout dévoiler en même temps, faut quand même garder des secrets!

marygold==>

heu, moi je ne l'avais jamais entendu. Tu crois que c'est un québécisme, ou tu l'as vu employé dans un texte "français" ?
---
C'était dans un texte québécois, enfin je vais voir les autres synonimes que je pourrais utilisés.

merci pour les reste

Tourniaire==> Oui une autre fut demandée avant toi
pour répondre à tes questions :

Pourquoi un des pires désastres connus ?
---
Tu vas le savoir pourquoi un peu plus tard, je n'ai pas fini de poster le prologue, mais pour t'expliquer le désastre ; c'est les deux dimension qui se fusionnent ensemble, donc le monde humain se trouve confronté ou monde magique

Pourquoi créer un monde sans magie ?
---
Pour leur propre connaissance, savoir à quoi ça ressemblait je crois que je le mentionne à un moment donné, mais comme je disais : le prologue n'est pas fini

Pourquoi une armée de l'ombre ? Pourquoi pas une armée de beaux gosses ténébreux ?
---
Parce que c'est le nom que je leur est donné, qu'est-ce que tu crois! Tu ne me demandera pas pourquoi est-ce que mon personnage s'appel Mel? Non? C'est évident que c'est son surnom, et bien, c'est la même chose pour "armée de l'ombre"


Et pour les mages, c'est qu'il n'existe pas juste ça dans se monde...

Enfin, il faut que je corrige la suite et je vous l'enverai par la suite!

Bon alors voilà, je vous lance la suite et j'espère que les erreurs seront moins nombreuses. J'ai pris le temps de réviser entre autre ma ponctuation, alors si vous voyez une faute quelconque, faite le moi savoir.


(suite)


Les archigans étaient des créatures à corps d’humain, mais au tempérament et à certains atouts animal et possédaient une des plus rares capacités de ce monde. Car ces êtres mi-humain et mi-animal se nourrissaient de l’énergie des créatures clandestines qu’ils rencontraient sur leur chemin, à partir d’un filament de lumière rouge qui entourait une partie du corps de leur victime, avant de la vider complètement de sa force vitale. Ce ligament lumineux provenait d’une fente creusée dans la paume de leur main et ne sortait quand cas de besoin.

Pourvu d’une force sur-humaine, ils n’y avaient rien à leur épreuve et leurs serres semblables à celles d’un dragon naissant déchiraient facilement tout ce qui se trouvait devant eux. Disposant des yeux de couleur jaune, ils pouvaient aisément voir la nuit et pour localiser leurs proies, ces yeux émettaient une sorte d’infrarouge leur permettant de voir l’énergie dégagée de la cible en question.

Ces êtres possédaient aussi des ailes de couleur noire, mais elles étaient trop courtes pour leurs permettent de voler, mais juste assez longues pour qu’ils puissent planer. Voyageant toujours par centaine, elles détruisaient tout sur leur passage et ne laissaient aucun survivant. Car, rare étaient ceux qui s’en sortaient intact de ce combat mortel.

Un vent de panique traversa bien vite tous les villages, mais personne ne savait réellement ce qui allait se produire suite à cette nouvelle accablante. À la grande stupeur de tous, une alarme d’urgence venait d’être déclarée quelques jours après l’incident. Car quelque chose d’encore plus éminent se préparait à venir frapper l’Univers tout entier.

Le jeune tyran venait d’ouvrir les portes spatio-temporelles : ces portes s’ouvraient grâce à une énergie unique qui fut installée dans la serrure et la clef. Et les deux énergies combinées actionnaient une force magnétique assez puissante pour écarter les portes et ouvrir le portail.

Mais les deux dimensions étaient séparées depuis si longtemps qu’une force astrale s’était créée entre les deux mondes. Chacun des Univers poussaient de force égale sur le portail ce qui fit à l’ouverture de celui-ci : les deux mondes s’entrechoquèrent si fort qu’ils s’emmêlèrent jusqu’à ce qu’ils ne forment plus qu’un seul Univers.

Le monde humain fut confronté à une des pires catastrophes que leur histoire est connue. Se voyant envahi par un Univers qui leur était totalement inconnu, ils furent violemment secoués par la présence d’êtres si différents qu’eux et, surtout, beaucoup moins conciliants. Pratiquement impossible d’y échapper chacun voyait pour sa survit, pas plus.

Quant ceux de l’autre dimension qui venaient d’atterrir dans un milieu qu’ils ne connaissaient pas, durent s’adapter le plus rapidement possible à ce nouvel environnement. Car, plus ils tardaient l’accommodement et plus leur vie en dépendait. Parmi les quelques survivants de ce désordre règne encore une crainte qui restera sans doute à jamais gravé. Bien que le changement fut brutal et que la plus part des êtres qui s’en sont miraculeusement sortit vivant on réussit reprendre leur vie, ils ne s’adapteront vraiment jamais à ce nouvel Univers.

Une fois que le tout fut produit, ils eurent beau chercher le responsable de ce renversement, mais ils ne trouvèrent rien qui puisse les conduire à un quelconque individu. Certains disaient qu’il était mort durant le changement planétaire, mais d’autres prétendaient qu’il serait resté coincé entre les deux dimensions lors du transfert. Quoi qu’il en soit, il avait disparut et personne ne savait ce qu’il était devenu.

Aujourd’hui, il ne reste que quelques continents qui ne sont pas encore atteints, mais plus le temps avance et plus l’Univers que nous avons créé se fait envahir par cette seconde dimension. Nous faisons tout pour les préservés, mais nous savons bien qu’un jour ou l’autre, nous perdront le contrôle de l’énergie que nous avons libérer dans le monde humain et finirons bien par perdre la partie. Un siècle s’est écoulé depuis, cent ans de chaos ont régné parmi nous et personne ne sait quand tout ça prendra fin. Mais peu à peu, nos rêves de retrouver nos mondes tels que nous l’avons connu se dissipent. Gardant toujours courage face à ce qui nous arrive dans l’espoir de retrouver la liberté que nous avons perdue, le jour où la clef du Temps fut volée…»

Quelques petites erreurs qui viennent juste de me sauter aux yeux.

Citation :

...une partie du corps de leur victime, avant de la vider complètement de sa force vitale.

pas de virgule entre victime et avant.

Citation :

Quant ceux de l’autre dimension qui venaient d’atterrir...

Quant à ceux de l'autre ...

Citation :

Parmi les quelques survivants de ce désordre règne encore une crainte qui restera sans doute à jamais gravé

Gravée

Citation :

Bien que le changement fut brutal et que la plus part des êtres qui s’en sont miraculeusement sortit vivant on réussit reprendre leur vie...

on réussit à reprendre leur vie...

Citation :

Mais peu à peu, nos rêves de retrouver nos mondes tels que nous l’avons connu se dissipent

tels que nous les avions connus se dissipent.



Alors je crois que s'est tout pour le moment =-)

J'aime beaucoup ton style et ton idée mais c'est compliqué !!

Suite !

Merci mais qu'est-ce que tu trouves compliqué?

Chapitre 1







Le regard limpide et rempli de lourdes émotions, Mel regardait la pluie couler sur la fenêtre de la voiture. Les événements des derniers jours l’avaient complètement renversée et depuis, elle n’avait pas placé un seul mot. Elle avait l’impression qu’un grand vide s’était formé dans son corps et qu’une partie d’elle-même venait de s’envolée. Assise dans une grande limousine noire, la voiture roulait depuis près d’une heure à travers les sentiers rocailleux. Lorsqu’ils débouchèrent enfin sur une route moins endommagée, ils débarquèrent sur un chemin étroit oscillant entre les arbres de la forêt. L’adolescente regardait les feuillus défilés à toute vitesse sous les couleurs chaudes de l’automne, lui évoquant quelques souvenirs lointains. Bien au chaud dans la voiture, elle réfléchissait, perdue dans ses pensées, mais loin de là Mel aurait préféré s’enfuir le plus loin possible de cet Univers. Mais elle devait se rendre à l’évidence, elle ne pouvait pas continuer à fuir cette réalité, mais malgré tout, elle persistait à lui tourner le dos.


L’intérieur de la voiture était couvert d’un velours vert émeraude et des divans occupaient une majorité de l’espace. Au milieu, une table rectangulaire de couleur noire était installée où de la boisson rafraîchissante et, de la nourriture avaient été déposées. Une odeur de mort embaumait l’atmosphère, la jeune fille étouffa un sanglot et pris une gorgée de son jus de fruit avant de la recracher sur une serviette en s’étouffant. Elle s’essuya d’un geste rapide et reposa le verre sur la table. La voiture commença à ralentir tranquillement et vint s’arrêter devant un manoir. La jeune fille se détacha et s’approcha de la vitre opposée. Elle frotta un cercle avec sa manche pour enlever la buée et regarda à l’extérieur.


L’endroit était plutôt sinistre, on pouvait facilement croire que ce vieux bâtiment fut laissé seul à l’abandon. Les carreaux des fenêtres à moitié brisés laissaient entrevoir les rideaux déchirés et décolorés par le temps. Les briques grises semblaient trembler sous le lourd poids du manoir et les portes d’entrée délabrées et vieillies restaient entre-ouvertes. Les dalles du toit ne tenaient plus par elles-mêmes et étaient prêtes à tomber sur le sol à tout moment, dont l’herbe brûlé couvrait la cour avant. Mel frissonna à la vu de cet endroit si sombre. La porte s’ouvrit de l’autre côté et la tête du conducteur apparut.




- Nous sommes arrivés mademoiselle, dit-il d’une voix monotone.





Mel acquiesça d’un signe de tête et sortit de la voiture. Le vieil homme était vêtu d’un complet noir, le regard vitré et sans émotions. Son visage, pour ainsi dire, quasiment blanc et sombre fit frémir la jeune fille. Sur sa tête presque dégarnie virevoltaient ses quelques cheveux gris restant, coiffés maladroitement pour essayer de cacher son crâne pratiquement nu. Sur son visage creusé par les rides, le vieil homme portait une profonde cicatrice rouge sur la joue gauche, celle-ci semblait avoir été marqué par la lame d’un couteau. Le conducteur attendait sous la pluie que la jeune demoiselle sorte. Dès qu’elle eût posé le pied par terre, il mit le parapluie au-dessus de la tête de la jeune fille. Mel le prit et leva les yeux au ciel. Elle avait perdue quelque chose en elle, mais elle n’arrivait pas à savoir quoi.


Le conducteur lui fit signe de venir, il fit volte-face et se dirigea vers l’arrière de la voiture d’une marche boiteuse. Mel le suivit d’un pas lourd et nonchalant, le regard au sol, elle observait la pluie tomber sur le bout de ses chaussures noires cirées. Le vieil homme fit le tour de la limousine et s’arrêta devant le coffre arrière de la voiture et l’ouvrit, puis il y prit quelques valises poussiéreuses qu’il traîna derrière lui avant de refermer la porte. Il s’arrêta quelques mètres plus loin, déposa lourdement les valises sur le sol et appuya sur le bouton de l’interphone. L’adolescente leva les yeux, devant elle s’étalait une immense grille rouillée et de chaque côté, s’élevaient deux grandes colonnes de pierres, exposées sur le dessus de chaque une, une gargouille géant suivi d’un mur de pierres brunes qui entourait le bâtiment. De l’intérieure de la voiture, l’endroit lui semblait beaucoup moins effrayant. Le vent sifflait à travers les branches des arbres dénudé, semblant transporté avec lui un message que le ciel aurait envoyé.


L’interphone grincha et la voix d’une vieille dame se fit entendre.




- Qui est là? Demanda-t-elle.



- Mademoiselle est arrivé, répondit le chauffeur sur un même ton.

- Bien, faite la entrée.



La grille s’ouvrit dans un grincement aiguë et le conducteur reprit les valises avant de passer de l’autre côté, Mel le suivant juste derrière. Lorsque la jeune fille traversa les barrières, elle sentit une énergie traverser son corps, quelque chose qu’elle n’avait encore jamais ressentit auparavant. Figée, elle regarda autour d’elle perplexe.



- Qu’est-ce que s’est? Murmura-t-elle à elle-même.



Elle balaya l’avant cours du regard et ses yeux s’arrêtèrent devant une fontaine. La base en marbre formant un cercle était ornée de lettre d’or, dont l’écriture avérait être un langage étranger. La pierre brunâtre entremêlée de lignes noires était craquelée à plusieurs endroits et semblait avoir vieillit à travers les âges, mais résistait encore aux intempéries du temps. Au milieu s’exposait une créature féminine sculptée dans du marbre gris que Mel ne connaissait pas.

Elle s’approcha tranquillement pour examiner de plus près ce fameux personnage qui l’intriguait tant et put voir les fins traits du visage de la jeune femme. Son corps aux formes développées et mince était recouvert d’un voile opaque, passant par le tour de son cou, s’entrecroisant ensuite au niveau de sa poitrine, puis devait un seul tissu à ses hanches avant de tomber au bas de ses pieds. La tête relevée vers le ciel, les mains entre-ouvertes comme si elle venait de faire envoler un oiseau encore fragile.

Ses cheveux légèrement ondulés tombaient jusqu’au bas de ses fesses, coiffés d’une fine couronne qui faisait le tour de sa tête à la hauteur de son front, ornée d’une pierre précieuse en son milieu. Mel observa la gracieuse créature de la tête au pied et son regard s’attarda sur les oreilles de la statue. Celles-ci étaient de forme anormale, elle plissa les yeux pour mieux voir son aspect et s’aperçut avec stupeur qu’elles étaient plus longue que les siennes. Même qu’elles pendaient futilement de chaque côté et terminaient en une délicate pointe.

Au bout pendaient deux boucles d’oreilles rondes, larges d’environ un centimètre, tombant jusqu’au milieu de son cou. Elle contourna lentement la fontaine pour mieux porter son attention sur le visage de la jeune femme. Celui-ci était plutôt effilé, le menton pointu, de petites lèvres et des yeux semblables à ceux d’un chat. Un fin jet d’eau sortait d’entre ses deux mains avant de finir sa chute environ un mètre plus bas. Mel abaissa les yeux pour essayer de lire ce qui était écrit sur la base.



«Tar massë i hón lehta I tyarwë le tuv sina sá le sac.» Marmonna-t-elle pour elle-même.



- Mais c’est quoi se charabia? Se questionna-t-elle en se relevant.



Elle observa encore une fois la statue et l’effleura du bout de ses doigts, quand derrière elle, le vieil homme l’interpella en s’éclaircissant la gorge. Elle se retourna et sourit maladroitement, puis jeta un dernier regard à la fontaine avant de retourner auprès du chauffeur.

très bonne description de la fontaine,toi qui disais que tu avais de la misère à trouver des SYNONYMES!(c'est comme ça que ça s'écrit)

tu as de la misère avec les verbes "er" "é" à ce que je vois ,pourtant un truc très simple existe! morde et mordu ,essaye avec ça ou sinon batir et batis ,je ne peux te donner des conseils de plus .
sinon ton histoire est très bien ,sinon quelque acrostiches au début ,quand tu expliques la construction de ton monde .continue ,c'est tout ce que je peux te dire ,et continue à utiliser des mots variés ,c'est cela qui agrémente ton texte!

Quand tu as un dictionnaire des SYNONYMES à côté de toi, se n'est pas très difficile.

Pour les "er" "é" je n'ai pas de misère, je ne me suis juste pas attardée la dessus et je connais le truc.

Et tu veux dire quoi par "acrostiches" ?


Merci pour ton commentaire! La suite sera pour bientôt!

Le regard limpide et rempli de lourdes émotions, Mel regardait la pluie couler sur la fenêtre de la voiture. Les événements des derniers jours l’avaient complètement renversée et depuis, elle n’avait pas placé un seul mot. Elle avait l’impression qu’un grand vide s’était formé dans son corps et qu’une partie d’elle-même venait de s’envolée. Assise dans une grande limousine noire, la voiture attention répétition de voiture, mot pas très élégant roulait depuis près d’une heure à travers les sentiers rocailleux. Lorsqu’ils débouchèrent enfin sur une route moins endommagée, ils débarquèrent sur un chemin étroit oscillant entre les arbres de la forêt. L’adolescente regardait les feuillus défilés à toute vitesse sous les couleurs chaudes de l’automne, lui évoquant quelques souvenirs lointains. Bien au chaud dans la voiture, elle réfléchissait, perdue dans ses pensées, mais loin de là Mel aurait préféré s’enfuir le plus loin possible de cet Univers. Mais elle devait se rendre à l’évidence, elle ne pouvait pas continuer à fuir cette réalité, mais malgré tout, elle persistait à lui tourner le dos.


L’intérieur de la voiture était couvert d’un velours vert émeraude et des divans occupaient une majorité de l’espace. Au milieu, une table rectangulaire de couleur noire était installée où de la boisson rafraîchissante et, de la nourriture avaient été déposées. Une odeur de mort embaumait l’atmosphère, la jeune fille étouffa un sanglot et pris une gorgée de son jus de fruit avant de la recracher sur une serviette en s’étouffant. Elle s’essuya d’un geste rapide et reposa le verre sur la table. La voiture commença à ralentir tranquillement et vint s’arrêter devant un manoir. La jeune fille se détacha et s’approcha de la vitre opposée. Elle frotta un cercle avec sa manche pour enlever la buée et regarda à l’extérieur.


L’endroit était plutôt sinistre, on pouvait facilement croire que ce vieux bâtiment fut laissé seul à l’abandon. Les carreaux des fenêtres à moitié brisés laissaient entrevoir les rideaux déchirés et décolorés par le temps. Les briques grises semblaient trembler sous le lourd poids du manoir et les portes d’entrée délabrées et vieillies restaient entre-ouvertes. Les dalles du toit ne tenaient plus par elles-mêmes et étaient prêtes à tomber sur le sol à tout moment, dont l’herbe brûlé couvrait la cour avant. Mel frissonna à la vu de cet endroit si sombre. La porte s’ouvrit de l’autre côté et la tête du conducteur apparut.




- Nous sommes arrivés mademoiselle, dit-il d’une voix monotone.





Mel acquiesça d’un signe de tête et sortit de la voiture. Le vieil homme était vêtu d’un complet noir, le regard vitré et sans émotions. Son visage, pour ainsi dire, quasiment blanc et sombre fit frémir la jeune fille. Sur sa tête presque dégarnie virevoltaient ses quelques cheveux gris restant, coiffés maladroitement pour essayer de cacher son crâne pratiquement nu. Sur son visage creusé par les rides, le vieil homme portait une profonde cicatrice rouge sur la joue gauche, celle-ci semblait avoir été marqué par la lame d’un couteau. Le conducteur attendait sous la pluie que la jeune demoiselle sorte. Dès qu’elle eût posé le pied par terre, il mit le parapluie au-dessus de la tête de la jeune fille. Mel le prit et leva les yeux au ciel. Elle avait perdue quelque chose en elle, mais elle n’arrivait pas à savoir quoi.


Le conducteur lui fit signe de venir, il fit volte-face et se dirigea vers l’arrière de la voiture d’une marche boiteuse. Mel le suivit d’un pas lourd et nonchalant, le regard au sol, elle observait la pluie tomber sur le bout de ses chaussures noires cirées. Le vieil homme fit le tour de la limousine et s’arrêta devant le coffre arrière de la voiture et l’ouvrit, puis il y prit quelques valises poussiéreuses les valises sont à qui pour pertre poussièreuses. pourquoi poussièreuses ? qu’il traîna derrière lui avant de refermer la porte. Il s’arrêta quelques mètres plus loin, déposa lourdement les valises sur le sol et appuya sur le bouton de l’interphone. L’adolescente leva les yeux, devant elle s’étalait une immense grille rouillée et de chaque côté, s’élevaient deux grandes colonnes de pierres, exposées sur le dessus de chaque une, une gargouille géant suivi d’un mur de pierres brunes qui entourait le bâtiment. De l’intérieure de la voiture, l’endroit lui semblait beaucoup moins effrayant. Le vent sifflait à travers les branches des arbres dénudé, semblant transporté avec lui un message que le ciel aurait envoyé.


L’interphone grincha et la voix d’une vieille dame se fit entendre.




- Qui est là? Demanda-t-elle.



- Mademoiselle est arrivé, répondit le chauffeur sur un même ton.

- Bien, faite la entrée.



La grille s’ouvrit dans un grincement aiguë et le conducteur reprit les valises avant de passer de l’autre côté, Mel le suivant juste derrière. Lorsque la jeune fille traversa les barrières, elle sentit une énergie traverser son corps, quelque chose qu’elle n’avait encore jamais ressentit auparavant. Figée, elle regarda autour d’elle perplexe.



- Qu’est-ce que s’est? Murmura-t-elle à elle-même.



Elle balaya l’avant cours du regard et ses yeux s’arrêtèrent devant une fontaine. La base en marbre formant un cercle était ornée de lettre d’or, dont l’écriture avérait être un langage étranger. La pierre brunâtre entremêlée de lignes noires était craquelée à plusieurs endroits et semblait avoir vieillit à travers les âges, mais résistait encore aux intempéries du temps. Au milieu s’exposait une créature féminine sculptée dans du marbre gris que Mel ne connaissait pas.

Elle s’approcha tranquillement pour examiner de plus près ce fameux personnage qui l’intriguait tant et put voir les fins traits du visage de la jeune femme. Son corps aux formes développées et mince était recouvert d’un voile opaque, passant par le tour de son cou, s’entrecroisant ensuite au niveau de sa poitrine, puis devait un seul tissu à ses hanches avant de tomber au bas de ses pieds. La tête relevée vers le ciel, les mains entre-ouvertes comme si elle venait de faire envoler un oiseau encore fragile.

Ses cheveux légèrement ondulés tombaient jusqu’au bas de ses fesses pas très élégant, coiffés d’une fine couronne qui faisait le tour de sa tête à la hauteur de son front, ornée d’une pierre précieuse en son milieu. Mel observa la gracieuse créature de la tête au pied et son regard s’attarda sur les oreilles de la statue. Celles-ci étaient de forme anormale, elle plissa les yeux pour mieux voir son aspect et s’aperçut avec stupeur qu’elles étaient plus longue que les siennes. Même qu’elles pendaient futilement de chaque côté et terminaient en une délicate pointe.

Encore les elfes !!

Au bout pendaient deux boucles d’oreilles rondes, larges d’environ un centimètre, tombant jusqu’au milieu de son cou. Elle contourna lentement la fontaine pour mieux porter son attention sur le visage de la jeune femme. Celui-ci était plutôt effilé, le menton pointu, de petites lèvres et des yeux semblables à ceux d’un chat. Un fin jet d’eau sortait d’entre ses deux mains avant de finir sa chute environ un mètre plus bas. Mel abaissa les yeux pour essayer de lire ce qui était écrit sur la base.



«Tar massë i hón lehta I tyarwë le tuv sina sá le sac.» Marmonna-t-elle pour elle-même.



- Mais c’est quoi se charabia? Se questionna-t-elle en se relevant.



Elle observa encore une fois la statue et l’effleura du bout de ses doigts, quand derrière elle, le vieil homme l’interpella en s’éclaircissant la gorge. Elle se retourna et sourit maladroitement, puis jeta un dernier regard à la fontaine avant de retourner auprès du chauffeur.

Sinon, j'ai relevé les fautes d'expression mais il doit y avoir des fautes d'orthographe (demande à Marygold ).

J'aime bcp ta description, ses sentiments, ton action.

Petit défaut peut-être : tu pourrais encore plus nous rentrer dans ton pers. dans ses tripes ! pour nous faire réellement connaître le malaise.

Si je fais une comparaison à la musique : ton texte est un beau texte comme une belle musique "bien" jouée, sans fautes mais il manque ses tripes, pour que àa soit une vraie interprétation et que l'on sente que c'est un vrai morceau, que le public ressente quelque chose tu comprends ?

Mais sinon, bravo et suite !

Pour le répétitions, je n'avais pas porté attention, je vais y remédier.

Tant qu'aux valises, il me semble logique que se sont celles de Mel et poussièreuse parce qu'elles n'ont presque jamais servit, mais ça je le précise plus tard, je crois que tu cherches à tout savoir trop vite et moi comme je te l'ai déjà dit: je n'aime pas tout dire en même temps! Alors patience!!

Hé oui, des elfes, mais se ne sont qu'une minime partie des êtres dont je vais parler et se ne sont pas les principals!

Tant qu'à ses émotions, il est vrai que je les ai peut-être laissé un peu tombés quand j'arrive dans le coin de la description de la fontaine, je vais voir ce que je peux faire! Merci de tes conseils.

D'autres commentaires?